Ross Grieve a choisi de devenir photographe il y a plus de vingt ans. Il a débuté sa carrière en Nouvelle-Zélande, en tant que photographe d’action. Parce qu’il travaillait avec du film analogique, chaque cliché comptait. C’est de cette façon qu'il a appris les connaissances et compétences de base qui lui servent toujours aujourd’hui. « Je ne prends pas un cliché au hasard, je prends le meilleur cliché possible ».
Désormais, il est spécialisé dans les portraits et la rue est son terrain de jeu. Il fait des photographies dans son studio, mais également sur le tas. Les appareils photo LUMIX représentent son matériel préféré. « Pas parce que je suis un ambassadeur LUMIX, mais parce que ces appareils sont excellents : ce sont des appareils légers sous stéroïdes, voilà la meilleure description qui leur correspond ». Ross a toujours été sociable, et c’est peut-être l’une des caractéristiques les plus importantes pour un photographe spécialisé dans les portraits. Afin d'obtenir le meilleur portrait possible, il faut que le modèle se sente à l’aise. « Les meilleures photos sont celles qui reflètent réellement les traits de caractère des gens. Ils doivent ressortir, pour ainsi dire. Et pour que cela fonctionne, ils doivent vous faire confiance en tant que photographe ». Mais comment y parvenir ? Après tout, la plupart des gens sont assez tendus quand on les photographie. « Mon studio a une atmosphère vraiment décontractée, ce qui aide. Lorsque j’y accueille des gens, on commence avec une petite discussion autour d’un thé ou d’un café. Durant la session, je continue de leur parler, ce qui surprend la plupart d’entre eux, habitués à avoir les yeux rivés sur leur écran de téléphone plusieurs heures par jour.
Parfois, les meilleures photos sont prises au début, lorsque les gens pensent que je n’ai pas encore vraiment commencé. Je leur dis souvent que je fais des photos d’essai, pour voir si les paramètres et la lumière sont bons. Ça aide certaines personnes à se détendre ». Dans le studio, il est plus facile de garder la situation sous contrôle. « Lors des sessions sur le terrain, les conditions varient. Pour obtenir les images que l’on souhaite, il est nécessaire de comprendre la lumière. La meilleure façon pour comprendre la lumière et les différentes conditions d’éclairage, c’est de faire des photos dans la rue, où les conditions changent en permanence. Un jour il vous faut travailler avec une lumière aveuglante, le lendemain, la lumière est diffuse en raison des nombreux nuages ». Il aime toujours autant s’adonner à la photographie dans la rue. « Je vis dans une zone rurale, alors chaque fois que je me rends dans une grande ville, je ressens une surcharge sensorielle. Je suis comme un enfant dans un magasin de bonbons. La semaine prochaine, je vais à Londres, et j’ai tellement hâte ! » Même après vingt ans, il ne s’est toujours pas lassé de son art. « Les gens que je rencontre m’inspirent.
IJ’aime également me rendre dans des galeries et y observer différents styles d’art. Dans les peintures, j’analyse toujours l’utilisation de la lumière. Ça m’inspire beaucoup de voir la façon dont les autres l’utilisent. Je prends également des cours pour me tenir à jour avec les nouvelles techniques et les nouveaux logiciels. Le jour où j’arrêterai d’apprendre, j’arrêterai de faire de la photo ». Grieve donne régulièrement des cours magistraux et, en collaboration avec d’autres photographes, il fait des podcasts sur la photographie, intitulés « Talking Shot ». « Nous avons commencé il y a un an et nous avons produit 29 podcasts jusqu’à maintenant. Il s’agit de conversations légères sur le thème des films et des vidéos. Ce n’est pas très technique ; on s’amuse et on tâche de garder les gens intéressés. Au-delà des podcasts, c’est sympa de travailler avec d’autres photographes. Le travail de photographe est majoritairement solitaire.
Et comme il est très important de rester sain d’esprit, il est essentiel de veiller à ne pas se sentir seul. Cela signifie également faire d’autres choses en dehors de la photo, pour se vider l’esprit. J’apprécie le fait de me rendre dans un café, de m’y asseoir pendant une heure, et de regarder les gens en m'imprégnant de l’atmosphère ». Cela fait de nombreuses années qu’il a décidé de travailler avec les appareils LUMIX. « J’avais l’habitude de travailler avec des appareils DSLR, mais durant un voyage alors que j’étais de retour en Nouvelle-Zélande, j’ai découvert à quel point il est agréable de travailler avec les appareils LUMIX. Ils sont légers et, par exemple, la technique 4K me permet de prendre des photos qu’il ne serait possible d’obtenir qu’en post-production; La marque Panasonic est réellement attentive à sa communauté et améliore sans cesse ses appareils ourles rendre aussi bons que possible ».
Ross Grieve
Le photographe néo-zélandais Ross Grieve maîtrise son art depuis plus de 20 ans. Ross vit aujourd’hui dans la superbe campagne vallonnée de Pembrokeshire, au Pays de Galles. Photographe accompli, récompensé par de nombreux prix (notamment UK Pet Photographer, Welsh Master Fashion & Portrait Photographer) son travail l’a conduit aux quatre coins de la planète : les Maldives, Ras el Khaïmah, le Japon, la Suède et l’Australie. Il est également un photographe de rue passionné. Ross a été l’un des deux photographes impliqués dans la campagne du LUMIX GH5, occasion qui lui a permis de démontrer les avantages de la photographie 4K et 6K..